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Irlande - juillet 2011 : carnet de voyage

Jour 5 - Ballymoney > Letterkenny

Avant de nous rendre à Derry, qu'absolument personne n'appelle Londonderry en dehors des cartes routières, nous prolongeons le parcours de la côte d'Antrim. Première étape : Dunluce Castle, un château en ruine surplombant la mer.

ballymoney - letterkenny

Je dois avouer que la visite n'est pas désagréable, mais qu'elle n'est pas à la hauteur de nos espérances. Nous avons sûrement fait une erreur en refusant les audioguides... 

ballymoney - letterkenny

Nous reprenons la route en direction de Derry, et traversons quelques villes dont les couleurs viennent égayer un peu le temps morose.

ballymoney - letterkenny

Ça y est, nous y sommes ! Des remparts délimitent le cœur de la ville, nous les empruntons en partie pour découvrir ce lieu chargé d'histoire : la marque des conflits irlandais est encore très présente et presque palpable.

ballymoney - letterkenny

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A l'image des remparts qu'elle borde, cette église jaune et grise se pare de créneaux.

ballymoney - letterkenny

Un dernier coup d'œil aux maisonnettes colorées, alignées et identiques, qui correspond bien à l'idée que l'on peut avoir de certaines villes du Royaume-Uni, avant de reprendre la route pour rejoindre Letterkenny.

ballymoney - letterkenny

Rien à signaler de particulier sur ce trajet... On y découvre, le soir, un B&B lamentable, bien en dessous de tous ceux qui nous ont accueillis jusqu'à maintenant. Mais comme si ça ne suffisait pas, mon oreille, qui me titillait depuis plusieurs jours, me fait de plus en plus mal... Etant donné que ce genre de chose ne m'est arrivé qu'une fois en de nombreuses années, et que ça s'était soldé par un otite carabinée, je préfère jouer la carte de la prudence et consulter avant de reprendre l'avion la semaine prochaine. La soirée s'est donc déroulée à l'hôpital de la ville, qui rêvait mieux ?

Heureusement, mon oreille n'a rien de spécial, mais on devra se contenter de quelques biscuits en guise de repas, car tout est fermé à l'heure où nous sortons. La puce est toujours aussi patiente et agréable, tant mieux... Ça sera mieux demain !